Le début du démantèlement...
Après s'être enivré du champagne de l'après-victoire, après avoir multiplié les poignées de mains et les promesses tous azimuts,.., Monsieur SARRE passe aux choses sérieuses et commence à s'attaquer aux organes mis en place par la Municipalité précédente pour améliorer la sécurité des habitants de notre Ville...
Le nouveau Maire a en effet annoncé cette semaine "une redéfinition des missions de la Police Municipale, un redéploiement de ses horaires et la mise en place de partenariats précis avec la Police Nationale"... Mais, derrière cet écran de fumée, ce qui retient l'attention, c'est la décision la plus emblématique... à savoir le désarmement de la Police Municipale.
Rappelons que la Police Municipale a été mise en place par l'ancienne Municipalité. Une convention de coopération avec la Police Nationale avait été conclue avec le Préfet. L'autorisation d'armement avait été délivrée par le Procureur de la République après assermentation. Les policiers municipaux étaient formés, entraînés, rodés, soumis régulièrement à un contrôle physique et psychologique... Ils avaient à maintes reprises démontré une parfaite maîtrise de leur matériel et notamment de leur armement et constituaient des renforts importants pour la Police Nationale dans l'exercice de ses missions... Ajoutons que l'armement était purement défensif.
Rappelons aussi que la Police Municipale n'était qu'un instrument parmi d'autres d'une vaste politique de sécurité comportant 3 axes : répression-réparation, protection-dissusasion et prévention-éducation. L'ensemble était sans doute perfectible mais ambitieux, équilibré et... efficace.
Rappelons enfin qu'en 2001, lorrsque l'ancienne Majorité gagna l'élection municipale, la situation de la sécurité à COLOMBES était extrêmement tendue. Les agressions se multipliaient, les incivilités étaient monnaie courante, l'emprise de groupes de type mafieux ou prémafieux sur certains quartiers était évidente... La population n'en pouvait plus, de plus en plus d''habitants des quartiers populaires du Nord fuyaient la Ville... Car les premières victimes de ce désastre étaient évidemment les plus faibles : enfants, jeunes, femmes seules, personnes âgées... Et rappelons à toutes fins utiles qu'en 2001, la Majorité de l'époque, de gauche comme aujourd'hui, avait été sévèrement sanctionnée de n'avoir apparemment rien fait pour enrayer cette catastrophe...
Aujourd'hui, les résultatrs sont là. L'insécurité a baissé sensiblement. Le sujet a cessé d'être une obsession populaire. Grâce à tout ce qui a été mis en place par l'ancienne Majorité et notamment grâce au travail efficace de la Police Municipale conjugué à celui de la Police Nationale, COLOMBES est redevenue paisible...
Malgré ces indéniables succès, la Gauche colombienne a malheureusement toujours cherché à nier la réalité. Ses représentants locaux (au premier rang desquels le nouveau Maire) n'ont toujours vu dans l'insécurité qu'un fantasme droitier (pour faire peur !) et dans la politique de sécurité, un vulgaire "concours de biceps"... Ils continuent à penser que seule une réponse sociale permettra de répondre aux quelques "dérèglements" (s'ils existent !) et qu'au contraire, la violence de certains individus ou groupes est provoquée par la violence institutionnelle des autorités et des puissants... Dans ce contexte, la violence urbaine ne serait qu'un succédané de la lutte des classes chère à la Gauche la plus idéologique... L'armement étant aux yeux de ces rêveurs angéliques un symbole de cette violence institutionnelle, le désarmement constituerait donc pour eux le premier jalon de la pacification des quartiers...
Car, ne nous y trompons pas... Le désarmement n'est que le premier épisode du démantèlement, du détricotage méthodique de l'ancienne politique de sécurité et de ses instruments, au premier rang desquels la Police Municipale. Une police que la Gauche a d'ailleurs toujours injustement considérée comme une sous-police, donc non légitime... Une police qui n'aura désormais plus la possibilité de se défendre : tout un programme !
Aujourd'hui, ils désarment les policiers municipaux. Demain, ils les transformeront en agents d'ambiance (porteurs de lien social !). Après-demain, ils les supprimeront (budgétairement bien sûr...)...
Et l'insécurité reviendra... sous les yeux clos, bien bien clos de ces élus ouatés... au-dessus de toute réalité !...
Le nouveau Maire a en effet annoncé cette semaine "une redéfinition des missions de la Police Municipale, un redéploiement de ses horaires et la mise en place de partenariats précis avec la Police Nationale"... Mais, derrière cet écran de fumée, ce qui retient l'attention, c'est la décision la plus emblématique... à savoir le désarmement de la Police Municipale.
Rappelons que la Police Municipale a été mise en place par l'ancienne Municipalité. Une convention de coopération avec la Police Nationale avait été conclue avec le Préfet. L'autorisation d'armement avait été délivrée par le Procureur de la République après assermentation. Les policiers municipaux étaient formés, entraînés, rodés, soumis régulièrement à un contrôle physique et psychologique... Ils avaient à maintes reprises démontré une parfaite maîtrise de leur matériel et notamment de leur armement et constituaient des renforts importants pour la Police Nationale dans l'exercice de ses missions... Ajoutons que l'armement était purement défensif.
Rappelons aussi que la Police Municipale n'était qu'un instrument parmi d'autres d'une vaste politique de sécurité comportant 3 axes : répression-réparation, protection-dissusasion et prévention-éducation. L'ensemble était sans doute perfectible mais ambitieux, équilibré et... efficace.
Rappelons enfin qu'en 2001, lorrsque l'ancienne Majorité gagna l'élection municipale, la situation de la sécurité à COLOMBES était extrêmement tendue. Les agressions se multipliaient, les incivilités étaient monnaie courante, l'emprise de groupes de type mafieux ou prémafieux sur certains quartiers était évidente... La population n'en pouvait plus, de plus en plus d''habitants des quartiers populaires du Nord fuyaient la Ville... Car les premières victimes de ce désastre étaient évidemment les plus faibles : enfants, jeunes, femmes seules, personnes âgées... Et rappelons à toutes fins utiles qu'en 2001, la Majorité de l'époque, de gauche comme aujourd'hui, avait été sévèrement sanctionnée de n'avoir apparemment rien fait pour enrayer cette catastrophe...
Aujourd'hui, les résultatrs sont là. L'insécurité a baissé sensiblement. Le sujet a cessé d'être une obsession populaire. Grâce à tout ce qui a été mis en place par l'ancienne Majorité et notamment grâce au travail efficace de la Police Municipale conjugué à celui de la Police Nationale, COLOMBES est redevenue paisible...
Malgré ces indéniables succès, la Gauche colombienne a malheureusement toujours cherché à nier la réalité. Ses représentants locaux (au premier rang desquels le nouveau Maire) n'ont toujours vu dans l'insécurité qu'un fantasme droitier (pour faire peur !) et dans la politique de sécurité, un vulgaire "concours de biceps"... Ils continuent à penser que seule une réponse sociale permettra de répondre aux quelques "dérèglements" (s'ils existent !) et qu'au contraire, la violence de certains individus ou groupes est provoquée par la violence institutionnelle des autorités et des puissants... Dans ce contexte, la violence urbaine ne serait qu'un succédané de la lutte des classes chère à la Gauche la plus idéologique... L'armement étant aux yeux de ces rêveurs angéliques un symbole de cette violence institutionnelle, le désarmement constituerait donc pour eux le premier jalon de la pacification des quartiers...
Car, ne nous y trompons pas... Le désarmement n'est que le premier épisode du démantèlement, du détricotage méthodique de l'ancienne politique de sécurité et de ses instruments, au premier rang desquels la Police Municipale. Une police que la Gauche a d'ailleurs toujours injustement considérée comme une sous-police, donc non légitime... Une police qui n'aura désormais plus la possibilité de se défendre : tout un programme !
Aujourd'hui, ils désarment les policiers municipaux. Demain, ils les transformeront en agents d'ambiance (porteurs de lien social !). Après-demain, ils les supprimeront (budgétairement bien sûr...)...
Et l'insécurité reviendra... sous les yeux clos, bien bien clos de ces élus ouatés... au-dessus de toute réalité !...